Mise en valeur de pelouses sèches, de zones « Natura2000 », d’Espaces Naturels Sensibles, protection contre les risques d’incendie ou d’inondations, chargements d’animaux à l’hectare optimaux pour maitriser l’enfrichement sans surpâturage (entre 0,5 et 1,4 UGB/ha), bilan azote faible (moins de 30 kg/ha), dépendance énergétique faible.
Pour tous ces aspects à la fois économiques, sociaux et environnementaux, l’agriculture est au centre du développement durable de Belledonne.
Et c’est ce qui fédère l’ADABEL.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter l’étude réalisée en 2008 sur le massif de Belledonne par la Chambre d’Agriculture de l’Isère :